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Comment surfera-t-on un monde pollué ?

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »3.22″ collapsed= »off »][et_pb_row _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » collapsed= »off »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » custom_padding__hover= »||| »][et_pb_video src= »https://youtu.be/Ww0xe3hb3d0″ _builder_version= »3.0.106″][/et_pb_video][et_pb_text _builder_version= »3.27.4″]La pollution des océans est une réalité mais la réalité dépasse la fiction. Partout, le plastique, les déchets, la pollution chimique et l’homme qui toujours cherche à contourner les règles. La planète est encore bleue, les raisons d’espérer existent, les raisons d’être extrêmement pessimistes également. Malheureusement. La marque Vissla et la Surfrider Foundation viennent d’imaginer la combinaison du futur pour les surfers. Peu importe que ce soit une réalité ou un exercice de communication, la prise de conscience est bienvenue. Qui aurait imaginé il y a trente ou quarante ans, que les océans seraient à ce point en danger à part quelques artistes visionnaires comme Philippe Druillet qui dès les années 70 dépeignait l’océan comme le « gluon » une masse devenue visqueuse et impraticable. La combinaison de Vissla est censée protéger des radiations, des polluants, elle analyse les données, dont celles de l’eau. Le surfer est devenu une sorte de plongeur qu’il faut protéger, déconnecté de l’élément, connectés aux capteurs. Au delà de l’exercice un peu flippant, la question de fond pour les années à venir – beaucoup plus déterminante que le numérique ou les J.O de 2024, est bien la suivante :  quel impact aura la pollution sur les pratiques sportives ? En mer comme sur terre.[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

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