[et_pb_section bb_built= »1″][et_pb_row][et_pb_column type= »4_4″][et_pb_video _builder_version= »3.0.106″ src= »https://www.instagram.com/p/BwPMlC0njDj/ » /][et_pb_text _builder_version= »3.0.106″ background_layout= »light »]
L’une d’elle s’appelle Tatiana, l’autre Natalia.
Elles sont jeunes, elle sont russes, elles pratiquent la callisthénie, Tatiana fait partie du team Justice league, Natalia est vice championne du monde, elle fait aussi du street fighting
Natalia à 25 000 abonnés sur Instagram, Tatiana 50 000
Instagram donne à voir une autre vision du sport, souvent très novatrice. Libérés des cadres institutionnels, les athlètes y relayent une pratique qui laisse une grande part à la spontanéité. Elles s’amusent, elles sourient. A priori, on ne peut pas les accuser de se doper, ni d’être obsédées par le culte du corps.
Notre récent sujet sur le corps était illustré par une vidéo de Frank Medrano dont le physique exceptionnel ne permet pas forcément de se projeter. Ces deux jeunes femmes, décontractées, qui jouent avec une barre fixe est d’une autre dimension. Regardez en arrière plan, ce sont les garçons qui sont spectateurs, pas acteurs d’un exercice qu’on assimile pourtant à de la « force ». La prérogative change pour un instant de « camp ».
La callisthénie est quasiment inconnue en France. Entrainement au poids du corps, elle a une grande résonance sur internet. Elle ne nécessite pas beaucoup d’équipement, de ceux qu’on voit, quand ils existent, en banlieue comme dans les parcours de santé des coins plus chics, toujours déserts. Faute d’imaginaires.
Et pourtant…
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]