Évidemment, ce film montre le bodysurf dans sa version la plus engagée, la plus extrême, elle n’est pas forcément une référence pour la réflexion qui suit, mais elle est utile pour l’imaginaire. Voilà jusqu’où peut aller ce simple corps à corps, sans objet interposé, avec la nature. Kalani Lattanzi nous fait penser aux alpinistes, d’une certaine manière il nous renvoie à Nirmal Purja.
Si nous parlons de bodysurf c’est parce qu’il nous permet de poser une courte réflexion mais sur trois niveaux.
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