La prise de conscience de l’absurdité des grandes villes, congestionnées depuis quarante ans, a tardivement eu lieu. On peut dès lors imaginer faire baisser la pollution et réaffecter l’espace public kidnappé par l’ère du tout automobile. La toute-puissance de la voiture est enfin questionnée.
Le vélo et les nouvelles mobilités connaissent un succès foudroyant, y compris en France où l’on regardait nos amis hollandais et danois avec envie, mais sans pourtant prendre une quelconque initiative.
Abonnez-vous gratuitement pour poursuivre votre lecture !