On connaît la différence entre « le sport qui se regarde » et « le sport qui se pratique » mise en évidence par Alain Loret.
Partant de ce constat, on peut noter, remarquer que l’hyper visibilité du sport qui se regarde (son poids médiatique, notamment celui des grands événements), se colore, voire fausse, la vision du sport en général.
Ajoutons enfin les structures (fédérations, clubs) qui véhiculent une conception du sport qui leur est propre, mais qui de par leurs poids, devient déterminante. Parfois les structures et les médias vont dans le même sens. Les Jeux Olympiques en sont l’exemple type.
Abonnez-vous gratuitement pour poursuivre votre lecture !