À l’époque, ce point de vue était très marginal (mais le magazine 200 partageait cette vision et l’avait écrite dans un édito). Il n’y avait pas de culture vélo en France, sans doute une culture du Tour de France qui aussi fabuleuse soit-elle pesait de tout son poids sur l’imaginaire vélo.
Cet ancrage très fort, est sans doute, une des raisons qui a empêché l’hexagone et ses institutions de prendre en compte, de « voir » à quel point le vélo tout-terrain était une révolution culturelle, que le BMX pouvait renouveler aussi et “augmenter” l’imaginaire vélo en direction des plus jeunes. Pour l’anecdote, le BMX est arrivé dans les années 70 en Californie, il aura fallu attendre 2020 pour que l’hexagone adopte les pumptracks.
Abonnez-vous gratuitement pour poursuivre votre lecture !