De ce coté-ci de la planète, la culture maritime est élitiste, basée sur la maîtrise technique, l’innovation, la performance, le large (la conquête), le « résultat ». En voile, c’est flagrant.Dans le Pacifique notamment, la relation avec les éléments est plus charnelle, la culture des peuples premiers est ainsi.
À Tahiti ou à Hawaii, la place du surf, de la pirogue, bref, des objets moins complexes et plus légers, est encore significative.
Question, que veut-on transmettre demain ? Le carbone et la vitesse ou le contact avec les éléments qui va de pair avec un certain minimalisme ?
Evidemment, il y a un volet stratégique pour tous les acteurs concernés.