[et_pb_section admin_label= »section » transparent_background= »off » allow_player_pause= »off » inner_shadow= »off » parallax= »off » parallax_method= »on » make_fullwidth= »off » use_custom_width= »off » width_unit= »off » custom_width_px= »1080px » custom_width_percent= »80% » make_equal= »off » use_custom_gutter= »off » fullwidth= »off » specialty= »off » disabled= »off »][et_pb_row admin_label= »row » make_fullwidth= »off » use_custom_width= »off » width_unit= »off » custom_width_px= »1080px » custom_width_percent= »80% » use_custom_gutter= »off » gutter_width= »2″ allow_player_pause= »off » parallax= »off » parallax_method= »on » make_equal= »off » parallax_1= »off » parallax_method_1= »on » parallax_2= »off » parallax_method_2= »on » parallax_3= »off » parallax_method_3= »on » parallax_4= »off » parallax_method_4= »on » disabled= »off »][et_pb_column type= »4_4″][et_pb_text admin_label= »Text » background_layout= »light » text_orientation= »left » use_border_color= »off » border_style= »solid » disabled= »off » border_color= »#ffffff »]
Dans un ancien post, nous avions écrit que la glisse pouvait être vue comme un nouvel usage du monde, en référence à l’ouvrage culte de Nicolas Bouvier. En fait, et parce que ces pratiques sportives sont intimement liées à l’exploration, à la découverte et aux voyages, à la nature d’ailleurs avec laquelle il faut composer, elles sont par définition un nouvel usage du monde, une façon de l’appréhender, de le découvrir, de le faire sien, de relativiser, d’apprendre, de trouver sa place. Bien sûr, tous ceux qui partent surfer ou explorer n’ont pas la puissance évocatrice de l’auteur en question, mais si la plume n’est pas au rendez-vous, certains films traduisent à leur manière, ce qui peut vous arriver de mieux au contact du monde. Voici sans autre forme d’analyse une minute d’apesanteur qui nous est offerte par David Gonzalez Buendia
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]